Avec la multiplication des banques en ligne et des courtiers spécialisés sur Internet, il est devenu facile de trouver un interlocuteur pour réaliser ses investissements. Encore faut-il que cet interlocuteur soit le bon.
La solidité financière
C’est un conseil évident que de privilégier une banque ou un courtier en ligne qui présente une certaine expérience, donc une ancienneté, plutôt que de s’orienter vers un nouvel arrivant qui attire les clients à coups de publicité et d’offres promotionnelles.
Il est également important de s’assurer de l’adossement à un grand groupe, ou la présence d’actionnaires solides, gage de sécurité pour vos transactions et vos dépôts futurs.
La qualité des services proposés
Si les services standards sont en général les mêmes partout (compte courant, produits d’épargne classiques, crédits, moyens de paiement…), il convient de porter une attention particulière sur les spécificités qui les entourent.
Par exemple, la recherche d’opérations, l’envoi de chéquier et l’encaissement de chèques, les dates de valeurs des virements, ou encore les taux de rémunération des produits, comme les livrets.
A ces spécificités techniques viennent s’ajouter la clarté et l’ergonomie du site. En effet, pour gérer au mieux votre argent sans énervement, autant privilégier une interface simple, qui permet une navigation facile. Ce point est d’autant plus valable que vos opérations sont complexes.
Les tarifs appliqués
La plupart des offres sur Internet seront plus compétitives que celles des agences physiques. Pour autant, entre ces offres subsistent un certain nombre de différences tarifaires.
Si les services de base sont généralement gratuits, ce n’est pas toujours le cas pour les cartes de paiement, les envois de chéquiers, les frais d’opposition…
Et pour les opérations plus spécifiques, comme les opérations de bourse ou les transactions sur le Forex, il convient d’analyser de façon exhaustive les conditions générales, pour que la réussite des stratégies financières ne soient pas plombées par des frais importants (frais de courtage, d’appel de marge, de transfert de fonds…)